Les voitures automobiles anciennes et les véhicule anciens de collection, v2.
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Bugatti Type 57 G, voiture de course de 1936
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La Bugatti Type 57 G, cette ancienne automobile fut produite de 1936 à 1939, elle avait un moteur de 3,2 l offrant une puissance de 200 ch, 8 cylindres, cette voiture pesait 1150 kg et pourrait atteindre la vitesse maximum de 210 km.
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La première Type 57Gs était un châssis Type 59 avec un moteur de type 57 non compressé . Elle fit son entrée avec trois voitures au Grand Prix de France de 1936 où Wimille/Sommer gagna, et les deux autres furent placée 6ème et 13ème. A Reims Wimille gagna encore, les deux autres arrivèrent 2ème et 4ème. Beaucoup de records de vitesse en classe C furent atteints par le Type 57G en 1936, incluant l'heure à 218km/h et les 24 heures à 199km/h.
En 1937 le Type 57G gagna Les 24 heures du Mans avec un nouveau record de moyenne à 137km/h. Un développement de cette voiture, appelée Type 57S45, fut produit pour la saison de 1937. Il avait le moteur compressé du Type 50B . Finalement, en 1939, une troisième version, avec le moteur du Type 57C compressé fut construit. Cette machine gagna cette année là Le Mans, une victoire encore célébrée par les bugattistes. Ce fut la dernière grande victoire pour Bugatti. Jean Bugatti rencontra la mort en testant la voiture victorieuse du Mans en août 1939, sortant de la route en voulant éviter un cycliste.
Carrossée en « Tank », elle gagne les 24 Heures du Mans en 1937 et de 1939. La première Type 57G était basée sur un châssis de Type 59 avec un moteur de Type 57 non compressé. Elle fit son entrée avec trois voitures au Grand Prix de France de 1936 où Wimille/Sommer gagna et les deux autres furent placées sixième et treizième. À Reims, Wimille gagna encore, les deux autres arrivèrent second et quatrième. Beaucoup de records de vitesse en classe C furent atteints par la Type 57G en 1936, incluant le record de vitesse moyenne à l'heure s'établissant à 218 km/h et les 24 heures à 199 km/h.
Finalement, en 1939, une troisième version, avec le moteur de la Type 57C compressé fut construit. Cette machine gagna cette année-là Le Mans. Ce fut la dernière victoire pour Bugatti. Jean Bugatti rencontra la mort en testant la voiture victorieuse du Mans en août 1939, sortant de la route en voulant éviter un cycliste.
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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Bugatti ", France 1909 - ....
En 1881, naît Ettore Bugatti à Milan. Après l’école, il commence un apprentissage chez Prinetti & Stucchi, un fabricant de bicyclettes.
En 1898, Bugatti monte son premier véhicule à quatre roues pour Prinetti & Stucchi, la Type 1, comme on l’a appelée par la suite.
En 1901, la Bugatti Type 2 obtient une médaille à l’exposition automobile de Milan. Le baron de Dietrich, constructeur de véhicules de Niederbronn, en Alsace, est tellement enthousiasmé qu’il prend Ettore Bugatti sous contrat.
Entre 1902 et 1904, environ 100 automobiles des Types 3, 4 et 5 voient le jour sous le nom de Dietrich-Bugatti.
En 1904, pour Emil Mathis, Bugatti construit une voiture. Il s’agit du prototype pour la Type 6 et la Type 7.
En 1907, Bugatti s’installe à Cologne et produit pour la fabrique de moteurs à gaz Deutz des modèles quatre cylindres. En 1909, il fonde sa propre entreprise à Molsheim, en Alsace.
En 1909, Ettore Bugatti commence à construire des automobiles pour son propre compte.
Au salon automobile de 1910 à Paris, les « Bugatti » connaissent un vif succès.
De l’usine de Molsheim vont sortir au cours des 47 années qui suivent des véhicules équipés de moteurs quatre, huit et seize cylindres.
Son fils, Jean Bugatti (1909-1939) s’avérera lui aussi être un constructeur génial. Pour ce jeune homme à la fois sensible et déterminé, ce n’est pas une tâche aisée que de s’affirmer par rapport au père. Il n’a que 21 ans lorsqu’il commence à dessiner des carrosseries.
Le talent du jeune Jean est idéalement secondé par celui du dessinateur Joseph Walter. En 1939, la guerre met fin à la production de Molsheim.
Au cours des années qui précèdent et qui suivent la mort d’Ettore, survenue en 1947, ont lieu de timides tentatives de reprendre la production, mais en raison du décès prématuré de Jean, il manque à l’usine un dirigeant et, surtout, un esprit créatif.
En 1956, la tentative de come-back avec une voiture de course de Type 251 échoue. En tout, ce sont 7 950 Bugatti (de la Type 13 à la Type 101) qui auront quitté l’usine de Molsheim.
En 1991, le courtier en finances tyrolien Romano Artioli fait renaître la marque. À Modène (Italie), on construit l’EB 110, qui est alors la voiture de sport la plus rapide du monde (352 km/h).
En 1993 est montré pour la première fois au salon de Genève le prototype de recherche EB 112, une limousine avec un moteur douze cylindres de 6 litres et 460 chevaux.
En 1995, l’entreprise d’Artioli fait faillite. En quatre ans, 139 véhicules ont été construits.
En 1998 le groupe allemand Volkswagen AG rachète la marque Bugatti et demande au célèbre designer italien Giorgetto Giugiaro de la société Turinoise Italia Design de produire deux prototypes inspirés de la Bugatti EB 112.
En 2000 la société Bugatti Automobiles SAS, basée à Dorlisheim lance le projet de la Bugatti Veyron, moteur 16 cylindres en W, 1001 chevaux, 408.47 km/h, boite 7 rapports à commande séquentielle, pneumatiques de 20 pouces au prix de 1 000 000 euros hors taxes (soit 1 196 000 euros TTC).
En 2003 Thomas Bscher succède à Karl-Heinz Neumann à la tête de l'entreprise.
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